Suite aux observations faites en AG 2023, ce 18 septembre , l'APAL a adressé un courriel aux autorités pour demander l'amélioration des points d'apport volontaire au Lioran .
La déchetterie de Neussargues est en travaux pour se moderniser .
Retour à la normale le lundi 02/10 : ouverture du lundi au samedi de 13h30 à 18h30.
Voici un petit rappel pour mieux trier ses déchets ménagers ainsi que les "encombrants" et éviter des mauvaises surprises.
ces infos pratiques sont sur un format A4 facile à imprimer sur toutes les imprimantes (en couleur si possible)
1 affichette trions plus simple (238.16 Ko)
2 affichette dechetterie neussargues (281.52 Ko)
3 affichette objets materiaux de la maison bpm en a 4 (178.86 Ko)
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Les propriétaires du Lioran sont très intéressés par l'organisation de la collecte des déchets au niveau de la station et par les difficultés de l'accès aux conteneurs du tri sélectif .
Il semble nécessaire d'avoir une information sur le problème global au niveau du département .
Voici un article publié sur le Journal de La Montagne le mardi 8 novembre 2022 :
L'édition Cantal du journal La Montagne consacre cinq pages à une thématique peu odorante... mais ô combien importante : les déchets. Leur traitement conduit, depuis dix ans, l'agglomération d'Aurillac à envoyer des centaines et des centaines de camions à 200 km, pour enfouir ses ordures chez un lointain voisin. À l'heure de la prise de conscience environnementale, cela pose question. Nous avons tenté d'obtenir des réponses.
« Longue et sinueuse, la route de nos déchets est une véritable aberration écologique. En 2021, selon les données récupérées par La Montagne auprès des trois collectivités, 18.637 tonnes de poubelles cantaliennes (12.575 tonnes du Bassin d'Aurillac, 4.741 de la Châtaigneraie, 1.321 de Cère et Goul en Carladès) ont été enterrées dans le Tarn-et-Garonne. »
Au fil de cinq pages à lire dans l'édition Cantal de votre quotidien, mardi, et toute la journée sur lamontagne.fr, vous découvrirez le sort réservé à nos sacs noirs : les ordures ménagères résiduelles.
Des données chiffrées, l'œil d'un expert du sujet, un reportage photo dans un territoire à la pointe, des éléments de comparaison ailleurs en France, un état des lieux à l'échelle départementale... Nous avons creusé, et nous avons pris le plus de hauteur possible. C'est notre rôle. Parce que ce dossier n'avance pas d'un iota.
Dès le départ, l’État n’a eu de cesse de rabâcher aux élus que cette solution ne pouvait pas durer. En mars 2012, la commission consultative d’élaboration et de suivi des plans départementaux de prévention et de gestion des déchets se réunit. Le préfet du Cantal de l’époque, Marc-René Bayle, exprime « l’urgence de mettre en place une solution locale au traitement des déchets résiduels dans l’arrondissement d’Aurillac, exportés depuis plusieurs mois ».
Mais depuis 2012, l'urgence dure. Les préfets se succèdent et se répètent. Cela en devient presque caricatural. Les études, financées par de l'argent public, se suivent et se ressemblent. L'histoire tourne en boucle. Alors on attend encore dix ans, ou c'est l'heure du changement ?
Romain Blanc
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